Le comportement et l’environnement
Le manque d'activité physique et la sédentarité
Ce sont des facteurs importants : la forte réduction de l'activité physique due au développement des transports (voiture, transports en commun,...) et des nouvelles technologies (télécommandes, télévision, ordinateurs,...) ne permet pas d'équilibrer le bilan énergétique.
Il a été constaté à l'heure actuelle une baisse des apports énergétiques journaliers qui restent toutefois supérieurs aux dépenses énergétiques journalières. La sédentarité est donc un facteur non négligeable de la prise de poids.
La thermorégulation assistée
Les nouvelles technologies (climatisation, chauffage …) ont permis de faciliter la stabilisation de la température corporelle.
Le corps ne lutte donc plus contre les variations de température ce qui n'occasionne donc presque plus aucune dépense énergétique de thermorégulation.
Le stress
La plupart des femmes en excès de poids présentent un terrain d'hyperémotivité. Ce terrain d'hyperémotivité, s'il est associé à des facteurs agravants comme des perturbations affectives ou sentimentales, des conflits familiaux ou professionnels… crée un déséquilibre du système nerveux qui perturbe la circulation périphérique, l'élimination de l'eau et des déchets et concourt ainsi au développement de la cellulite.
Ce déséquilibre lié au stress entraîne aussi la sécrétion de cortisol en réponse à un stress élevé. Le cortisol est une hormone. Il stimule l'augmentation du glucose sanguin et permet donc de libérer de l'énergie à partir des réserves de l'organisme.
Un niveau élevé de cortisol a été mis en relation avec une prise de poids.
Le cortisol agit de différentes façons sur la prise de poids :
- D'abord, il envoie des signaux au cerveau qui augmentent notre appétit et nos fringales pour des aliments «consolation», comme le sucre, les graisses ou l'alcool.
- Ensuite, le cortisol agit comme un signal et demande à nos cellules graisseuses de conserver plus de graisses et d'en libérer aussi peu que possible. Il bloque aussi l'action de nombreuses hormones comme l'insuline, de telle sorte que le contrôle du sucre sanguin est perturbé et que les petites envies gourmandes d'aliments de «réconfort» sont décuplées.
- De plus, le cortisol interfère avec l'hormone de croissance.
Résultat : une perte musculaire et un gain de masse grasse !!!
Tous ces effets combinés font que notre organisme consomme plus de calories et en brûle moins. Nous prenons donc du poids.
Boire une grande quantité d'eau engendre l'élimination des toxines ce qui favorise la perte de masse grasse…
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énergie nécessaire au fonctionnement de l'organisme (digestion par exemple). Il faut savoir que le cerveau à lui seul consomme environ 20% de l'énergie totale ;
